Calvitie : quel est son impact et comment affecte-t-elle l’estime de soi ?

Les scientifiques font des progrès dans le domaine de la calvitie à cause de l’importance de  l’impact que peut avoir une perte de cheveux sur la santé mentale de l’homme.

Le maintien d’une apparence jeune est devenu un élément essentiel de la vie moderne. Ce qui pousse les hommes à revoir leur photos avant de les poster sur les réseaux sociaux et se soucier de l’apparence de leur crane qui commence à se dégarnir. Qu’il s’agisse de photos d’applications de rencontres, de ventes d’Instagram ou même de photos d’entreprise sur LinkedIn. Une sorte de pression que ressent à peu près tous les hommes chauves.

Calvitie : son impact sur André Agassi

Dans son autobiographie, le joueur de tennis Andre Agassi décrit sa perte de cheveux comme une perte de « petits morceaux de mon identité ». Avec de telles angoisses amplifiées par le monde numérique, il n’est pas étonnant que l’impact de la calvitie masculine et féminine soit de plus en plus lié à divers problèmes de santé mentale.

Les différents choix de vie et les pressions qui accompagnent l’existence millénaire contribuent fortement aux inquiétudes concernant la perte de cheveux.

Les jeunes sont plus que jamais conscients de leur apparence. L’engagement se réalise généralement vers la trentaine, alors que c’était un peu p lus tôt pour les générations précédentes. Aujourd’hui, les hommes cherchent à trouver une partenaire dans la trentaine, ce qui rend la calvitie masculine plus problématique, car elle commence généralement entre 20 et 25 ans.

Calvitie : La recherche sur la chute des cheveux depuis bien longtemps

Mais malgré la prévalence de la perte de cheveux – la calvitie masculine touche environ 50 % des hommes de plus de 50 ans, tandis qu’environ 50 % des femmes de plus de 65 ans souffrent de calvitie féminine – un médicament capable de l’arrêter dans sa course s’est jusqu’à présent révélé insaisissable.

Des textes médicaux datant de 1550 av. J.-C. révèlent que les Égyptiens de l’Antiquité tentaient de tout frotter ou presque sur leur cuir chevelu, des sabots d’âne à la graisse d’hippopotame, afin de stopper le processus de calvitie.