En matière de chirurgie esthétique, tout le monde veut payer moins cher pour un service de qualité. Cuba est un endroit unique où une chirurgie peu coûteuse n’est jamais synonyme d’une opération peu sûre et de qualité inférieure.
Coût de la chirurgie esthétique à Cuba
Le prix de la chirurgie esthétique dépend de plusieurs facteurs : le coût de l’intervention proprement dite, la quantité de travail nécessaire, les médicaments, l’anesthésie, les tests médicaux, les vêtements chirurgicaux ou d’autres frais divers liés à l’opération, dont le coût est beaucoup plus faible à Cuba en raison de son modèle économique spécifique.
Les chirurgiens cubains sont bien sûr tout aussi compétents et qualifiés que ceux des États-Unis, mais leurs rémunérations sont moins élevées. De nombreuses opérations de chirurgie esthétique à Cuba donnent des résultats de meilleure qualité que dans certaines cliniques glamour.
Interventions de chirurgie esthétique les plus populaires à Cuba
De nombreuses procédures coûtent environ la moitié de ce qu’elles coûtent aux États-Unis. Malgré l’interdiction faite aux voyageurs américains de se rendre à Cuba, les patients américains se classent au troisième rang, après les Bahamiens et les Canadiens, des demandeurs de chirurgie esthétique à La Havane.
La chirurgie mammaire à Cuba
Il existe une différence culturelle notable entre les patientes américaines et cubaines : alors que les Américaines sont deux fois plus nombreuses à demander une augmentation mammaire plutôt qu’une réduction, à Cuba, la préférence est donnée à la réduction en ce qui concerne la taille des bonnets. Ces dernières années, l’intérêt pour les opérations de réduction, de lifting ou d’augmentation des seins a fortement augmenté.
Liposuccion et lipofilling à Cuba
La greffe de graisse, également appelée transfert de graisse autologue, est devenue l’une des procédures les plus demandées dans les hôpitaux de La Havane qui accueillent les étrangers qui paient en dollars. Dans le cas d’une greffe de graisse, le tissu graisseux est prélevé sur d’autres parties du corps – généralement les cuisses, le ventre et les fesses – par liposuccion. Le tissu est ensuite transformé en liquide et injecté dans la zone du sein pour recréer la poitrine.
Dans l’intervention chirurgicale, puisqu’il s’agit d’une intervention permanente, les patients préfèrent les injections de transfert de graisse qui deviennent de plus en plus populaires au lieu des implants en silicone malgré que ces derniers soient la norme établie, ou une combinaison des implants et du transfert de graisse. La taille des seins est calculée en tenant compte de la taille de la patiente, de son poids, de la largeur des épaules et des hanches, de la structure des hanches et, en fait, de sa profession. Les souhaits de la patiente sont importants, mais il arrive parfois que le volume des seins se dissolve avec le transfert de graisse et qu’une deuxième application soit nécessaire. Dans certains cas, les médecins ne parviennent pas à trouver de tissu graisseux à injecter à une patiente en bonne santé. Les médecins cubains expliquent cela au patient lors de la première rencontre. Les implants en silicone sont utilisés depuis 50 ans et sont désormais extrêmement sûrs. L’opération dure 1 à 1,5 heure. Le patient passe une nuit à l’hôpital et rentre chez lui le lendemain, en assez bonne condition pour subvenir à ses propres besoins. Les employés de bureau peuvent reprendre le travail en trois jours. Quelques semaines plus tard, il est possible de commencer à faire de l’exercice et à nager.
Liposuccion douce à Cuba
Liposuccion non invasive réalisée à Cuba est l’élimination non chirurgicale des graisses et le traitement de la cellulite.
Les technologies de type ondes et laser sont devenues une alternative à de nombreuses interventions chirurgicales, ce qui s’est reflété dans le nom d’une méthode. Nous parlons de liposuccion laser et de liposuccion par la machine onda coolwave. Dans de nombreux pays, on parle de « biochirurgie par ondes de choc » ou de « liposuccion non invasive ». Lors d’une séance de liposuccion, des ondes puissantes ciblent de manière sélective les cellules graisseuses sans affecter les tissus voisins. Après le traitement, les cellules graisseuses deviennent plus perméables, ce qui permet le transport des triglycérides (graisse) hors de la cellule. Les triglycérides sont ensuite éliminés par le système immunitaire de l’organisme au cours des 2 à 3 jours suivants. Les procédures de liposuccion par chocs et ondes corrigent le contour du corps, en agissant sur les couches de graisse excessives, les lipomes, les défauts de la peau après une liposuccion chirurgicale et les dépôts de graisse locaux en général, améliorant et augmentant l’élasticité de la peau.
Les ondes de choc stimulent la microcirculation dans les tissus adipeux, normalisent le métabolisme, réduisant ainsi les symptômes les plus importants de la cellulite. La thérapie par ondes de choc permet de restaurer l’élasticité naturelle de la peau et entraîne également une amélioration visible à long terme de la texture de la peau.
Traitements non invasifs à Cuba
Traitement sûr, confortable et abordable, la liposuccion douce à Cuba est un traitement pratiquement indolore, avec seulement un léger échauffement, semblable à un massage aux pierres chaudes.
Le chirurgien parvient à offrir :
- Des résultats sûrs grâce à la bio-stimulation du métabolisme naturel plutôt qu’à la destruction des tissus.
- Une réduction ciblée des graisses et un lissage de la cellulite.
L’intervention ne nécessite pas d’anesthésie et n’entraîne pas de temps d’arrêt.
La liposuccion non chirurgicale réalise les avantages suivants :
- Le remodelage du corps
- La réduction des graisses
- La réduction de la cellulite
- Le raffermissement de la peau
- Le drainage lymphatique
- Le lifting du visage et du cou
Les technologies non chirurgicales révolutionnaires offrent des traitements inégalés pour le modelage du corps et la réduction des graisses, en ciblant trois domaines clés : la réduction de la cellulite, la perte de centimètres de tour de taille et le raffermissement de la peau.
